Les difficultés rencontrées au cours des années 1980 par les banques de développement, structures traditionnelles de financement de l’agriculture, des petites et moyennes entreprises et de l’artisanat, ont contribué à aggraver la stagnation, voire la régression de l’activité économique dans les pays de l’UMOA. En effet, cette situation s’est traduite par la liquidation de la plupart des banques de développement.
Elle a rendu plus pressante la nécessité de promouvoir des structures alternatives de financement capables d’assurer la mobilisation de la petite épargne en milieu rural et urbain et de créer les conditions d’une insertion progressive du secteur informel dans l’économie moderne….
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